Hubert Schram

Marianne,
Je te présente, ainsi qu’à tes enfants et petits-enfants, mes plus sincères condoléances.
Lorsque Bénédicte m’a fait part de la triste nouvelle, le tiroir aux merveilleux souvenirs s’est ouvert instantanément. Ils sont tellement nombreux que je ne peux tous les détailler ici. Sache cependant que les années 70 m’ont fait cadeau du frère que je n’ai jamais eu et que seul un accident de la vie nous a éloignés sans que j’ai pu lui en expliquer le pourquoi.
Je sais par expérience que les mots n’ont maintenant plus aucun sens et qu’une chose compte et va t’aider, tes enfants et petits-enfants auront besoin de toi.
Georges